Mon corps est malade (rhume, angine, maux de ventre et de tête), bref, celle que j'ai surnommé "La crève" est venue me dire bonjour, et apparemment il fait bon vivre chez moi puisqu'elle s'est installée mercredi dernier. Est-ce le contrecoup de ces derniers jours ? La vente d'anti dépresseurs a explosé et on a tous du mal à retrouver notre quotidien, parfois trop routinier, mais finalement très rassurant. Je m'accorde dorénavant des soirées "sans info" car j'ai besoin de me retrouver.
La maladie aidant, j'ai donc passé le plus clair de mon temps ce week-end entre mon canapé et mon lit, en compagnie d'un ou deux livres, de magazines, de mon Macbook Air et de mon iPad et enfin de la télécommande, sans oublier ma petite saucisse et les deux matous. Finalement, cela m'aura permis de rattraper mon retard sur une partie des films diffusés sur Canal + que j'avais loupés au cinéma (6 films) et de profiter du retour de certaines séries (Banshee) en attendant House of Cards ou Secrets and Lies ...
Au menu : Banshee, les poupées russes, Philomena, Strain, La lettre à Helga, The Americans, Audrey Tautou, Tower Block, Jack Ryan, Yves Saint-Laurent, Secrets and Lies, Romain Duris, Jack O'Connell, The food guide to love, Keira Knightley, A moi le monde, etc.
Mes addictions télévisuelles
Au menu : Banshee, les poupées russes, Philomena, Strain, La lettre à Helga, The Americans, Audrey Tautou, Tower Block, Jack Ryan, Yves Saint-Laurent, Secrets and Lies, Romain Duris, Jack O'Connell, The food guide to love, Keira Knightley, A moi le monde, etc.
Mes addictions télévisuelles
En premier lieu, je veux fêter le retour de Banshee : Job is back !
Je vous avais, je crois, pas mal bassiné avec la deuxième saison, autant dire que j'étais folle de joie à l'idée de retourner dans la ville la plus déjantée de Pennsylvanie, que dire des USA. C'est simple : j'aime tous les personnages, ma préférence allant cependant pour Job (Hoon Lee), le meilleur ami du shérif Hood. Maquillé, pirate informatique, escroc de génie, il croyait ne plus jamais remettre les pieds à Banshee, mais comment dire non à plus de 10 millions de $ ? Car le shérif n'est jamais à manque d'idées, même si sa ville est prête à exploser - le peuple indien pleure son chef, et deux de ses proches sont venus le venger dont le chef des renégats et sa soeur Nola Longshadow. De son côté, le sombre Kaï Proctor tente de renouer avec sa mère (Amish), tout en couchant avec sa nièce. En résumé la rencontre entre des bâtons de dynamite et une allumette.
Il est pas sexy mon Job ?
Bref, si vous ne regardez pas la série, cela ne vous parle pas, mais pour les autres, la troisième saison démarre bien sur les chapeaux de roues.
Autre bonne nouvelle annoncée par Canal + Séries : le retour des espions russes, les Jennings dans la troisième saison de The Americans le 3 février prochain ! J'ai récemment vu par hasard une histoire où des espions russes dormants installés aux USA étaient activés (dans le film The Ryan Initiative) et j'ai tout de suite pensé à eux. Ce que j'aime aussi c'est me retrouver dans les années 80 où tout était différent, la technologie était loin d'être aussi performante et l'ennemi juré était l'Union Soviétique. J'aime le graphisme choisi pour illustrer cette saison :
Apparemment, Canal + Series a choisi de nous gâter puisqu'ils vont diffuser la série très attendue signée Guillermo Del Toro : Strain. Je ne suis pas très fan de ce genre de séries, mais le casting est trop alléchant : Corey Stroll (Homeland, House of Cards, acteur devenu incontournable), Sean Astin (Le Seigneur des Anneaux), Kevin Durand (le méchant des Captives), etc.
Corey Stroll interprète le rôle du Dr. Ephraim Goodweather, qui avec son équipe du centre de contrôle des maladies de New York, va enquêter sur une nouvelle épidémie virale qui se propage. Ce virus comporterait des souches anciennes de vampirisme. A voir.
Enfin, Castle s'est terminé sur un cliffhanger et France 2 nous invite à regarder la mini série australienne, Secrets and Lies (6 épisodes). Un quadra, marié et père de deux enfants découvre lors de son jogging le corps inanimé d'un enfant (4 ans) voisin. Très vite, les soupçons vont peser sur cet homme qui va devoir tout faire pour prouver son innocence. Cette mini série a déjà été rachetée par les américains qui en font un remake (avec Juliette Lewis et Ryan Philippe). Je remercie France 2 de nous proposer l'original. La dernière mini série australienne, The slap (la gifle) est un bon souvenir.
Sinon, retour des séries après la pause Fêtes avec The Big Bang Theory. Toujours aussi cocasses, ils m'ont mis du baume au cœur.
Enfin, que dire de la bande-annonce de la prochaine saison de House of Cards ? (attendue le 27 février et sans doute peu de temps après chez nous) Celle-ci se termine par un échange entre les époux : "We're murderers, Francis" - "No, we're survivors". Pour frissonner de plaisir, cliquez ici.
* * *
Etre clouée au fond de son lit a aussi quelques avantages, ainsi ai-je pu regarder plusieurs films diffusés sur Canal + à la demande (j'ai encore à voir trois ou quatre autres films, mais je n'arrive pas à rester prostrée devant mon petit écran plusieurs heures d'affilée).
J'ai quand même vu :
The food guide to love
A Dublin, Olivier (Richard Coyle) fait la pluie et le beau temps en tant que chroniqueur gastronomique, tout l'opposé de Bibiana (Leonor Watling) une jeune femme espagnole politiquement engagée et de surcroit végétarienne. Ils tombent amoureux mais très vite la réalité reprend le dessus, chacun ne voulant pas abdiquer sur ses principes.
Une petite comédie pas désagréable mais j'avoue avoir eu du mal avec l'acteur principal. Je ne sais pas pourquoi, mais il y a certains acteurs dont le physique me gêne, disons que je n'arrive pas à occulter ce désagrément et qu'il me gâche le plaisir (cf. Les poupées russes). Et là, j'ai connu ce souci avec Richard Coyle. L'idée de départ est excellente et lorsqu'ils entrent en guerre, il y a quelques scènes cocasses. Reste cependant au final une comédie qui s'oublie vite.
Une petite comédie pas désagréable mais j'avoue avoir eu du mal avec l'acteur principal. Je ne sais pas pourquoi, mais il y a certains acteurs dont le physique me gêne, disons que je n'arrive pas à occulter ce désagrément et qu'il me gâche le plaisir (cf. Les poupées russes). Et là, j'ai connu ce souci avec Richard Coyle. L'idée de départ est excellente et lorsqu'ils entrent en guerre, il y a quelques scènes cocasses. Reste cependant au final une comédie qui s'oublie vite.
Mon avis : ♥
The Ryan Initiative
Je n'ai jamais vraiment adhéré aux aventure de Jack Ryan, analyste financier et surtout agent secret pour la CIA. J'avais vu le premier opus avec Harrison Ford (ça doit bien faire 15 ans, non ?) et j'en étais restée là. C'est par curiosité et parce que j'aime Keira Knightley que j'ai enchainé avec ce film suspense. Malade, je voulais reposer mes neurones...
Ce que j'ai fait car ce film est terriblement classique, prévisible et je n'ai pas trouvé Kenneth Brannagh crédible en gangster russe. Quand au héros, Jack Ryan, j'ai eu beaucoup de mal avec son nouvel interprète, Chris Pine - j'en reviens encore au physique, mais là rien ne m'a permis de passer outre. Le scénario est faible et ce film grand public est d'une simplicité telle que je me suis posée la question : que venaient faire Keira, Kevin Costner et Kenneth dans ce film ?
Ce que j'ai fait car ce film est terriblement classique, prévisible et je n'ai pas trouvé Kenneth Brannagh crédible en gangster russe. Quand au héros, Jack Ryan, j'ai eu beaucoup de mal avec son nouvel interprète, Chris Pine - j'en reviens encore au physique, mais là rien ne m'a permis de passer outre. Le scénario est faible et ce film grand public est d'une simplicité telle que je me suis posée la question : que venaient faire Keira, Kevin Costner et Kenneth dans ce film ?
Mon avis : ♥
Philomena
Ce film avait reçu de nombreuses critiques élogieuses à sa sortie ; aussi avais-je très envie de le voir. L'histoire : l'Irlande a, pendant des années, soustrait à de jeunes filles mères leurs enfants pour les placer à l'adoption (faisant de surcroit travailler gratuitement les jeunes femmes). Philomena (Judi Dench) avait vu ainsi son fils être adopté à l'âge de 2 ans sans pouvoir s'y opposer. 50 ans plus tard, sa fille croise la route d'un ex correspondant de la BBC (Steve Coogan) qui accepte d'aller à la recherche de l'enfant, adopté en Amérique. Ce duo improbable s'envole donc vers l'Amérique.
Que dire? J'ai passé un bon moment en compagnie de ces deux personnes, même si je me suis sentie plus proche du reporter que de Philomena, qui a le cœur sur la main. Elle pardonne tout le monde, ne ressent aucune haine, aime tout le monde, n'a aucun souci avec l'homosexualité de son fils, bref la vraie Soeur du film, c'est elle. Seule la dernière scène (je garde le secret) lui redonne, pour moi, l'image d'une véritable personne humaine. Ce côté un peu trop "chrétien" du film (même si celui-ci n'épargne pas les Sœurs qui ont abusé de ces jeunes femmes), vous l'avez deviné, m'a à plusieurs moments dérangés. Un côté moralisateur qui m'a semblé excessif. Pour moi, le film est très très loin du formidable The Magdalene Sisters. Les acteurs sont toutefois irréprochables et on passe quelques jolis moments.
Que dire? J'ai passé un bon moment en compagnie de ces deux personnes, même si je me suis sentie plus proche du reporter que de Philomena, qui a le cœur sur la main. Elle pardonne tout le monde, ne ressent aucune haine, aime tout le monde, n'a aucun souci avec l'homosexualité de son fils, bref la vraie Soeur du film, c'est elle. Seule la dernière scène (je garde le secret) lui redonne, pour moi, l'image d'une véritable personne humaine. Ce côté un peu trop "chrétien" du film (même si celui-ci n'épargne pas les Sœurs qui ont abusé de ces jeunes femmes), vous l'avez deviné, m'a à plusieurs moments dérangés. Un côté moralisateur qui m'a semblé excessif. Pour moi, le film est très très loin du formidable The Magdalene Sisters. Les acteurs sont toutefois irréprochables et on passe quelques jolis moments.
Mon avis : ♥
Tower Block
Les locataires du bloc 31, immeuble voué à la démolition situé dans un quartier populaire de Londres vivent retranchés au dernier étage (les autres logement sont vides et murés) lorsqu'ils assistent à la prise en chasse d'un adolescent par des individus masqués. Le jeune garçon est retrouvé mort mais aucun voisin ne souhaite témoigner, même celle qui est intervenue. Les mois passent lorsqu'un samedi matin, un sniper commence à tuer méthodiquement chaque habitant du bloc 31, ayant pris les devants en bloquant toutes les issues. Une interminable chasse à l'homme commence.
Ce petit thriller n'avait, a priori, rien de bien folichon à vendre, j'ai repéré deux noms : Sheridan Smith, actrice populaire anglaise et Jack O'Connell, qui depuis a fait son chemin jusqu'à Hollywood, et je me suis lancée. Je ne le regrette pas, ce petit thriller (- d'1h30) est prenant, même si le scénario souffre de quelques incohérences, on fait vite partie du groupe des survivants. J'ai rapidement su qui se cachait derrière le sniper mais cela n'a pas stoppé mon enthousiasme. J'ai un peu regretté la fin mais qu'importe : ce dernier étage produit bien son effet claustrophobe sur les spectateurs et je n'ai pas lâché l’œil de l'écran. Le casting est impeccable. Un petit film nerveux comme je les aime. Mon film préféré du week-end.
Ce petit thriller n'avait, a priori, rien de bien folichon à vendre, j'ai repéré deux noms : Sheridan Smith, actrice populaire anglaise et Jack O'Connell, qui depuis a fait son chemin jusqu'à Hollywood, et je me suis lancée. Je ne le regrette pas, ce petit thriller (- d'1h30) est prenant, même si le scénario souffre de quelques incohérences, on fait vite partie du groupe des survivants. J'ai rapidement su qui se cachait derrière le sniper mais cela n'a pas stoppé mon enthousiasme. J'ai un peu regretté la fin mais qu'importe : ce dernier étage produit bien son effet claustrophobe sur les spectateurs et je n'ai pas lâché l’œil de l'écran. Le casting est impeccable. Un petit film nerveux comme je les aime. Mon film préféré du week-end.
Mon avis : ♥♥(♥)
Yves Saint-Laurent de Jalil Lespert avec Pierre Niney, Guillaume Gallienne, Charlotte Le Bon. A 21 ans tout juste, le jeune Yves Saint-Laurent est propulsé en 1957 à la direction de la maison Dior. Le spectateur va alors suivre la vie d'un des plus grands créateurs à travers principalement les années 60 et 70, ainsi que sa relation fusionnelle avec Pierre Bergé.
Bon je me lance, et hop je perds encore des amis ;-)
J'étais de surcroît malade, ce qui explique sans doute en partie la micro-sieste (pendant 10') mais qui n'explique pas la profonde lassitude à regarder ce film. Un peu comme lorsque vos beaux-parents vous convient à regarder les 500 photos de leur voyage en Andalousie. Et quand je lis que ce film est souvent préféré au premier, j'ai peur de voir le second.
Je ne remets pas en cause le génie d'YSL - d'ailleurs, mes moments préférés du film sont tout simplement les défilés ou les scènes dans l'atelier de couture. Je suis restée en pâmoison devant une collection hiver (mannequin portant une chapka noire et une veste brodée en or), mais le personnage d'YSL m'a profondément ennuyé. J'aime le processus de création, or ici il n'était que souffrance, comme la personne. YSL est malheureux et il traine son désespoir toute sa vie. Pierre Niney incarne un être tellement recroquevillé qu'il ne voit que sa propre personne.
Seules les premières années avec Victoire (superbe Charlotte Le Bon) le rendent quelque peu "vivant" mais le reste ......Comme quoi, parfois il est bon de se concentrer sur les créations d'un génie et moins sur le génie lui-même. L'autre point qui m'a irrité, c'est cette absolution envers Pierre Bergé. Je sais qu'il a "approuvé" ce film et je comprends pourquoi, il endosse le beau rôle : celui de l'amant trompé mais qui reste et soutient l'homme et gère l'entreprise. Bref, le compagnon parfait. On finirait presque par lui remettre une médaille.
Bref, ce film m'a prouvé une fois de plus que tous les génies n'ont pas la densité ou la tessiture pour voir leur vie privée mise à jour même si leur talent est incontestable. Je préfère de loin tous les documentaires filmés sur le monde de la mode, comme celui dédié à Karl Lagerfeld ou la française, ancienne rédac de mode. Ces documents s'attardent à dérouler le processus créatif, puis le processus de fabrication et ce monde de fou qu'est la mode. Ici, à part la scène avec une toile de Mondriano (il lui aura suffi de tourner une page...), rien sur le processus créatif du maître. Le personnage est introverti, que lui trouve-t-on? D'ailleurs on préfère filmer le Paris des soirées mondaines, celui des nuits folles, de l'échangisme, la drogue est partout, on y croise les fantômes de Warhol et une Loulou La Falaise bien fade. Une vie creuse, comme celle des amphores qui peuplent sa medina à Marrakech. Un grosse déception.
Mon avis : ♥
Les poupées russes
C'est en allant voir Casse-tête chinois que j'ai réalisé que je n'avais jamais vu Les poupées russes, sorti dans les salles en 2005. Canal + rediffuse les trois volets et j'ai hésité entre le premier (vu à sa sortie en 2002) et celui-ci. J'ai opté pour le seul qui manquait à ma collection. On y retrouve Xavier, Martine, William et Wendy cinq années après leur aventure espagnole. Xavier (Romain Duris) accepte n'importe quel job en caressant le secret espoir de voir un jour son livre être édité.
Lui et Martine (Audrey Tautou) sont séparés et il enchaine les histoires sans lendemain. Sans le sou, il navigue d'appartement en appartement, ainsi il retrouve Isabelle (Cécile de France), toujours aussi fantasque. Son boulot l'emmène à Londres retrouver Wendy (Kelly Reilly) puis à Saint-Pétersbourg retrouver William.
Cédric Klapisch possède un mode opératoire bien précis, on reconnait son empreinte. J'ai eu plaisir à voir le réalisateur se jouer des angles de vue, des perspectives, nous faire redécouvrir un Paris vivant, libre - se jouer des codes cinématographiques. J'avoue par contre qu'à un moment, j'ai trouvé ces effets ostentatoires. Klapisch n'a plus à nous prouver son talent de cinéaste.
Lui et Martine (Audrey Tautou) sont séparés et il enchaine les histoires sans lendemain. Sans le sou, il navigue d'appartement en appartement, ainsi il retrouve Isabelle (Cécile de France), toujours aussi fantasque. Son boulot l'emmène à Londres retrouver Wendy (Kelly Reilly) puis à Saint-Pétersbourg retrouver William.
Cédric Klapisch possède un mode opératoire bien précis, on reconnait son empreinte. J'ai eu plaisir à voir le réalisateur se jouer des angles de vue, des perspectives, nous faire redécouvrir un Paris vivant, libre - se jouer des codes cinématographiques. J'avoue par contre qu'à un moment, j'ai trouvé ces effets ostentatoires. Klapisch n'a plus à nous prouver son talent de cinéaste.
En relisant mon billet sur Casse-tête chinois, j'y retrouve les mêmes défauts - je me répète : je ne trouve pas l'acteur sexy, en fait, c'est l'inverse, quelque chose en lui me rebute, même si je le trouve très doué comme acteur (je le préfère cependant dans le dernier volet), et n'ayant jamais été fan des histoires à la Friends (j'assume), je trouve que ça tourne un peu en rond.
N'empêche que le film comporte quelques embellies comme la scène où lui et une ex espagnole se prennent la main, et j'adore l'actrice Kelly Reilly. Et comme toujours Audrey Tautou, une chieuse trop mimi. Enfin une mention spéciale aux autres personnages : Paris, Londres et Saint-Pétersbourg, Klapisch sait parfaitement les mettre en lumière.
Mon avis : ♥♥
* * *
Mes addictions littéraires
Je ne voudrais pas trop en dire, mais sinon partager avec vous ma joie d'avoir de nouveau retrouver le goût de la lecture, je traverse parfois des périodes où lire une seule ligne me semble insurmontable. C'est avec Trois mille chevaux vapeur que j'ai repris goût (bon, ma sécheresse hivernale aura duré deux petites semaines).
Depuis, j'enchaîne les lectures comme mon dernier billet Un peu... beaucoup.. à la folie le prouve. Je suis à la moitié du roman La lettre à Helga de Bergsveinn Birgisson, lecture qui m'a quelque peu surpris au départ, j'avoue !
Je vous invite à aller faire un tour sur mon blog dédié aux livres, dans lequel je consacre des billets entiers à mes lectures (les plus récentes que j'aborde peu ici) et puis aussi mon addiction aux livres, comme les derniers achats totalement superflus mais si jouissifs et ma rencontre avec une romancière (et une dédicace trop belle)...
Ma prochaine lecture : Et devant moi, le monde de Joyce Maynard. J'avoue que je crains un peu cette lecture, car mon écrivain préféré n'est autre que J.D Salinger...
Sinon, je ne sais pas pour vous, mais je prends toujours autant de plaisir à retrouver La Grande Librairie sur France 5. Je regarde rarement cette émission le soir-même, je me la réserve (merci le replay) pour mon petit-déjeuner au lit du samedi matin ;-)
Je vous invite à aller faire un tour sur mon blog dédié aux livres, dans lequel je consacre des billets entiers à mes lectures (les plus récentes que j'aborde peu ici) et puis aussi mon addiction aux livres, comme les derniers achats totalement superflus mais si jouissifs et ma rencontre avec une romancière (et une dédicace trop belle)...
Ma prochaine lecture : Et devant moi, le monde de Joyce Maynard. J'avoue que je crains un peu cette lecture, car mon écrivain préféré n'est autre que J.D Salinger...
Sinon, je ne sais pas pour vous, mais je prends toujours autant de plaisir à retrouver La Grande Librairie sur France 5. Je regarde rarement cette émission le soir-même, je me la réserve (merci le replay) pour mon petit-déjeuner au lit du samedi matin ;-)
hiiii ! the americans saisons 3 !!! maintenant que j'ai canal + séries et canal à la demande, je vais enfin pouvoir le voir !
RépondreSupprimerphilomena, j'ai beaucoup aimé. Je te conseille vivement le livre, au traitement radicalement différent, je l'ai préféré au film.
Merci pour l'info sur le livre car le film m'a paru un peu trop mou du genou. Contente pour toi pour Canal - ces deux chaines sont pour moi essentielles au bouquet, tu choisis de voir les films, séries et docs quand tu veux et enfin toutes les séries ! J'ai oublié de citer House of Cards en mars.
Supprimer