My addictions of the week

La tempête !  Ici ça souffle fort, par chez vous aussi ?  La semaine dernière, j'ai cru m'envoler comme Mary Poppins ! Ma petite saucisse apprécie moyennement ce temps "de chien" et moi j'ai dit au revoir à deux parapluies. Sinon, je suis peu présente car je pars dès jeudi à Lille, puis Bruxelles et le Luxembourg ;-)  Un voyage ultra court mais que j'attendais depuis longtemps.

Au menu cette semaine : Banshee, Ida, Christian Bale, Moneyless, Broadchurch, Homeland, Secret State, street art, Rome, les Inconus, documentaire américain,  un blog culinaire, etc.

 

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Mes drogues culinaires 
 

Copyright Design Love Fest

Je ne cuisine pas beaucoup ces temps-ci, par manque de temps et d'envie par contre j'adore saliver devant les petits plats préparés avec amour par d'autres blogueuses ;-)

Je garde les liens dans mes favoris - au lieu de noter la recette et de la préparer. C'est tout moi ;-)

Ici une recette simple mais qui me tente beaucoup, du blog Design Love Fest.  Les photos sont sublimes et la recette est disponible ici.  Le site est en anglais.

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Mes drogues télévisuelles 

Tempête oblige, je suis moins devant mon petit écran, en effet la Freebox n'aime pas le vent. Pas de souci pour les chaines de la TNT que je capte via ma télévision,  j'ai du patienter pour rattraper mon retard sur les séries diffusées sur Canal + séries. Samedi matin, j'ai donc vu la suite de Arrow (ma série "repose-cerveau"), 2 nouveaux épisodes de Homeland et j'ai découvert la série Banshee. 

La connaissez-vous ? Lucas Hood sort de prison après quinze années passées derrière les barreaux. Il part à la recherche de son ex-petite amie de l'époque, Ana, partie avec les bijoux du casse. Il la retrouve à Banshee, petite ville rurale de Philadelphie (où les Amish viennent vendre leurs produits). Mais son voyage prend une tournure différente : Ana est devenue Carrie, l'épouse du Procureur et mère de deux enfants. Elle n'a plus les bijoux qu'elle a perdus en tentant de les revendre. Leur ancien boss mafieux est à leur recherche, aussi Ana a peur. Lucas, par un jeu du destin décide de rester en volant l'identité du nouveau shérif.  Un ex-taulard devenu shérif - le concept est inédit. Forcément, ses méthodes ne plaisent pas à tout le monde.

Pour ma part, à part noter l'effort fait pour donner à la série une allure très branchée (le générique, la musique), les personnages sont à la limite de la caricature (les méchants très méchants - tout est noir ou blanc). J'ai cru ne pas regarder le deuxième épisode puis finalement j'ai craqué. Mais bon, je ne suis pas très fan de ces séries cousues de fil blanc.

Jeudi dernier, je suis restée devant ma télévision pour suivre la mini série anglaise en 4 épisodes diffusée sur Arte, Secret State avec Gabriel Byrne. J'ai trouvé cette histoire politique intéressante, bien interprétée et bien ficelée - mais si la fin est réaliste alors c'est peu rassurant pour l'avenir de la Grande-Bretagne ;-)

J'attends de pouvoir suivre (en v.o) la série Broadchurch qui sera diffusée sur France 2 à compter de lundi prochain. Cette mini série en 8 épisodes recueille des critiques dithyrambiques. 

Sinon, j'ai donc vu deux épisodes de Homeland. Cette troisième saison a été très critiquée aux USA car trop axée sur la fille de Brody (ce qui est le cas dès le premier épisode). Pour l'instant, je ne me suis pas ennuyée, moi j'adore les personnages de Claire Danes et de Rupert Friend. 

Je voulais revenir sur les téléfilms allemands du vendredi soir qui sont toujours d'un excellent niveau, j'ai beaucoup aimé celui de la semaine dernière qui traitait du viol d'une jeune femme par un membre de son groupe d'amis -  Idem pour le téléfilm qui suivait le parcours d'une jeune femme atteinte du syndrome de Gilles de la Tourette, beaucoup de fantaisie et une actrice formidable. Bref, on est très loin du Derrick !

Enfin, j'ai vu l'excellent documentaire diffusé sur la 5ème - Perpétuité pour les mineurs.  Les États-Unis, grande nation au demeurant - ont toujours refusé de ratifier la Convention sur les Droits de l'enfant. 22 États avaient même institué des peines automatiques pour les mineurs condamnés pour des crimes de sang - ainsi, un jeune était condamné à la prison à vie (sans possibilité de parole) dans le cas d'un meurtre (ou homicide involontaire) mais aussi simplement parce qu'il avait commis 3 crimes (une fameuse loi qui condamne automatiquement à la prison à vie au bout de 3 crimes, même si ce dernier est le vol d'une sucette !).  Depuis 2005, ils ne peuvent plus condamner les mineurs à la peine de mort. Après plusieurs cas célèbres (celui qu'on suit dans le documentaire est très éloquent), la Cour Suprême a enfin interdit ces pratiques. Plus de condamnation à vie pour des crimes autres que les meurtres, et pour ces derniers, le juge doit étudier une autre alternative (possibilité de parole, circonstances atténuantes). Un documentaire encore une fois très bien réalisé et implacable.

Sinon, j'ai regardé le programme télévisuel - rien de folichon :  je vois qu'Arte diffuse jeudi en deuxième partie de soirée la mini série Carlos (diffusée sur Canal + il y a 4 ans). J'en garde un très bon souvenir et l'acteur Edgar Ramirez est impressionnant.  Et Canal + diffuse vendredi soir la comédie 20 ans d'écart que j'avais bien aimée à sa sortie (avec Virginie Efira et Pierre Niney).

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Mes drogues artistiques

Je vous en avais déjà parlé, j'adore le street art - ici l'artiste Moneyless qui redonne à Rome ses lettres de noblesse. Si cette photo vous plaît, vous pouvez en voir plus sur l'excellent site Unurth. 

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Mes drogues cinématographiques 

Me voilà de retour dans les salles obscures, vous avez pu le constater par vous-même dans mes précédents billets. Et je prévois d'y retourner pour voir The American Hustle (je n'aime pas le titre français) de David O.Russell avec Christian Bale, Jennifer Lawrence et Bradley Cooper dont les attributs capillaires dans le film parlent d'eux-même.

Comme vous le savez, j'aime bien faire des pronostics pour les Oscars et mon chéri Christian Bale est nommé en tant que meilleur acteur - face à une concurrence rude cette année : Leonardo Di Caprio et Matthew McConaughey. J'avais lors de l'écriture de mon billet parié sur McConaughey, mais à l'époque je n'avais vu aucun des films. Depuis, je vote Léo - de plus Bale a déjà remporté la statuette. Je ne le verrai qu'à mon retour car je pars en Belgique après-demain.  

Je sais que la nouvelle comédie des Inconnus fait beaucoup parler d'elle, mais aucune envie de la voir et la critique de 20 Minutes de ce matin me conforte dans ma décision. 

Pour ma part, j'ai très envie de voir le film du réalisateur polonais, Pawel Powlikowski, Ida - qui raconte l'histoire d'Anna, jeune orpheline élevée au couvent dans les années 60 qui, avant de faire ses vœux va à la rencontre de sa tante découvrir un sombre secret de famille remontant à la Seconde Guerre Mondiale.  Le film, pour les Nantais, sera diffusé au cinéma Katorza.