Difficile de résister à l'équation Joseph Gordon-Levitt + Michael Shannon + New York City ! Aussi, vendredi soir, j'ai accepté de m'éloigner de mon cinéma préféré (qui ne le diffusait pas), pour aller voir ce film d'action, dont je venais au passage de lire une critique assassine. Mais il m'en faut plus pour me décourager.
Contrairement aux dires de ce monsieur, le film dispose bien d'un scénario, et tant mieux pour le spectateur car le film est joué en flashback. J'avoue cependant que le scénario est le prétexte pour mettre en scène une incroyable course poursuite entre Wylie le Coyote (Joseph), jeune coursier et Bobby Monday (Michael Shannon), flic véreux à bord de sa voiture. Et ça marche ! Le rythme est présent du début à la fin. A condition de ne pas vouloir chercher plus loin, j'avoue même que l'utilisation du flashback demande au spectateur de la réflexion. On découvre ici la vie de ces coursiers, vraiment dingues, qui passent leur vie à zigzaguer entre les milliers de véhicules qui arpentent les rues de la mégalopole. Le danger est partout, les clients des taxis qui descendent sur la chaussée, les passants, les autres vélos. Notre héros est l'archétype du coursier : il roule sur un fixie (sans frein et sans vitesses) et prend des risques insensés. Aussi, lorsque la coloc de sa copine lui demande de porter une enveloppe entre l'université de Columbia et Chinatown, il accepte sans sourciller. Mais sur son chemin va se dresser un flic, l'immense (1m93) Bobby Monday, bien décidé à mettre la main sur cette enveloppe. La course poursuite peut commencer.
Contrairement aux dires de ce monsieur, le film dispose bien d'un scénario, et tant mieux pour le spectateur car le film est joué en flashback. J'avoue cependant que le scénario est le prétexte pour mettre en scène une incroyable course poursuite entre Wylie le Coyote (Joseph), jeune coursier et Bobby Monday (Michael Shannon), flic véreux à bord de sa voiture. Et ça marche ! Le rythme est présent du début à la fin. A condition de ne pas vouloir chercher plus loin, j'avoue même que l'utilisation du flashback demande au spectateur de la réflexion. On découvre ici la vie de ces coursiers, vraiment dingues, qui passent leur vie à zigzaguer entre les milliers de véhicules qui arpentent les rues de la mégalopole. Le danger est partout, les clients des taxis qui descendent sur la chaussée, les passants, les autres vélos. Notre héros est l'archétype du coursier : il roule sur un fixie (sans frein et sans vitesses) et prend des risques insensés. Aussi, lorsque la coloc de sa copine lui demande de porter une enveloppe entre l'université de Columbia et Chinatown, il accepte sans sourciller. Mais sur son chemin va se dresser un flic, l'immense (1m93) Bobby Monday, bien décidé à mettre la main sur cette enveloppe. La course poursuite peut commencer.
J'adore Joseph Gordon-Levitt !
RépondreSupprimerMoi aussi ;)
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